La sédentarité est devenue un problème social. Elle est présente aussi bien chez les adultes et les personnes âgées que chez les enfants. Chez ces derniers, elle est renforcée par le mode de vie que nous avons actuellement. L’utilisation de la technologie dans le système éducatif n’est pas sans conséquence. Être tout le temps devant les écrans, c’est la meilleure façon d’aller vers la sédentarité. Pour lutter contre ce fléau, les parents doivent mettre en place des directives précises et claires. Ci-après nos conseils !

1. Bien dormir, éviter les longues siestes

Un enfant qui ne dort pas bien aura tendance à être moins actif au cours de la journée. Il voudra se reposer et ne faire que des activités qui ne nécessitent pas d’efforts physiques. Voilà pourquoi il est conseillé de lui fournir un couchage de qualité, comme un matelas tediber , qui lui promet un sommeil réparateur et agréable. De cette manière, il pourra faire ses nuits correctement. 

Vous l’aurez compris, pour lutter contre l’oisiveté et la sédentarité, il faut d’abord que le sommeil de l’enfant soit qualitatif. Ainsi, il disposera de toutes ses facultés et aura assez de force pour s’adonner à des activités physiquesau cours de la journée.

2. Faire du sport au réveil 

Pour être bien actif tout au long de la journée, il faut entamer celle-ci par du sport dès le réveil. Solliciter le corps et l’esprit dans la matinée est bénéfique pour la santé. Votre enfant n’est pas obligé de faire des activités intenses, quelques étirements musculaires suffisent amplement.

3. Aller à l’école à pied ou à en pédalant

Si l’école de votre enfant est assez près de la maison, il peut y aller à pied. La marche est le meilleur moyen de lutter contre la sédentarité. Cela éveille l’esprit et renforce la musculature. Si l’établissement scolaire est assez loin, il peut faire la moitié du chemin en marchant. Sinon, s’il est en âge de le faire, il peut également conduire un vélo ou un VAE, en fonction de la distance entre la maison et son école. S’il s’agit de faire plusieurs kilomètres, l’utilisation d’un vélo avec assistance électrique est vivement recommandée. 

4. Privilégier les escaliers 

Pour lutter contre la sédentarité, il faut se motiver et mettre en place des règles strictes. Parmi les règles fondamentales : éviter les ascenseurs. Les enfants doivent monter les escaliers. Cela améliore la circulation sanguine, surtout après une journée passée sur un banc de classe ou derrière un ordinateur. 

5. Consacrer quelques minutes par jour pour faire du sport 

Pour lutter contre la sédentarité, il faut également se donner du temps. Là-dessus, les parents doivent être clairs. Il faut que les enfants consacrent 15 à 20 minutes par jour pour faire du sport. Il ne s’agit pas forcément d’une activité intensive. C’est plutôt de la marche, quelques mouvements d’étirements musculaires, etc.   

6. Réglementer l’usage du smartphone et des ordinateurs 

Pour bien grandir et avoir l’esprit éveillé, il faut bien dormir. Pour ce faire, il faut définir les heures de coucheret de réveil. Il faut également éviter les lumières bleues avant d’aller au lit pour préserver les yeux et avoir un meilleur sommeil. Limiter les heures d’accès à l’ordinateur et aux smartphones contribue par ailleurs à lutter activement contre la sédentarité. 

7. Préférez les jeux en extérieur 

Les jeunes d’aujourd’hui préfèrent discuter en ligne, jouer à des jeux vidéo plutôt que de sortir et s’amuser à l’extérieur avec des amis. Si on ne peut pas empêcher cette tendance, on peut tout de même en limiter les effets et mettre en place certaines règles. Pour commencer, il faut que les parents limitent le nombre de plateformes de réseaux sociaux sur lesquelles l’enfant est inscrit. Aussi, il faut délimiter les heures auxquelles il peut jouer sur son jeu vidéo.

Les enfants ne sont pas encore assez matures pour se mettre des limites à l’accès aux jeux, aux téléphones et autres. C’est aux parents d’imposer des règles strictes pour régir les activités sédentaires. Rappelons que ces derniers sont à l’origine de nombreux maux comme le stress, les crises d’anxiété, les troubles sociaux, etc.